Sante TC 28-1

Santé Parasites externes : toujours d’actualité à la rentrée.

Extrait du magazine Tout Chien (voir le sommaire du Numéro 28)

Si leur profil peut légèrement varier au fil des saisons, les parasites externes sont un problème toute l’année pour les chiens. Leurs propriétaires doivent donc mettre en œuvre des mesures de lutte adaptées et ne pas baisser la garde à la rentrée.

La période estivale est propice aux parasites en tout genre : moustiques, aoûtats et autres guêpes sont bien connus des propriétaires. Ces derniers sont donc généralement vigilants et protègent leurs chiens contre ces hôtes indésirables de l’été.

Ils ne doivent pas baisser la garde à la rentrée, le parasitisme étant un problème à gérer toute l’année.

La puce : parasite n° 1

Le parasite numéro 1, actif quasiment toute l’année avec l’évolution du mode de vie des chiens, confinés dans les habitations, reste sans conteste la puce, première cause de prurit (démangeaisons) chez le chien.

Pour autant, certaines années marquées par une douceur climatique particulière sont plus propices à des infestations massives par les puces.

Des tiques même en hiver

De même, il est possible de rencontrer des tiques en plein hiver si un réchauffement des températures s’est maintenu durant quelques jours et a permis la réactivation de ces acariens qui passent la saison hivernale en état de vie ralentie.

Le risque parasitaire n’est pas le même pour tous les chiens. Les animaux en contact avec des chats qui sortent sont, par exemple, plus sujets aux puces et les chiens qui vivent à l’extérieur, les chiens de chasse ou de collectivité sont également davantage la cible des puces et surtout des tiques.

Contre ces deux ectoparasites majeurs chez le chien, la lutte s’envisage le plus souvent conjointement, la plupart des produits antiparasitaires externes disponibles sur le marché étant actifs contre les deux parasites.

3 modalités de traitement

Pour être efficace, la gestion antiparasitaire implique de prendre en compte un ensemble de paramètres : la biologie des parasites, le chien et son mode de vie, la localisation géographique, etc.

Vis-à-vis des puces, il faut toujours envisager le traitement selon trois modalités : le chien lui-même, ses congénères et les chats de la maison, son environnement.

Cette troisième étape est indispensable car la majorité des puces (plus de 95 %) passe son temps dans l’environnement du chien (couchage, tapis, parquet…) et non sur l’animal lui-même.

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