Extrait du magazine Tout Chien (voir le sommaire du Numéro 43)
Peut-on encore parler de printemps alors que dans certaines régions le temps sec et ensoleillé a déjà favorisé un démarrage précoce de l’entrée en pollinisation et un manque d’eau inquiétant ? Le dérèglement climatique impacte les parasites externes dont il faut se méfier. Le printemps, aussi belle saison soit-elle, recèle aussi d’autres dangers.
Tout va plus vite que la normale : des arbres sont entrés en floraison jusqu’à 6 semaines en avance dans certains endroits de France. Selon les experts, il faudrait un mois de mars anormalement pluvieux pour compenser la situation de sècheresse constatée. Certains départements ont d’ores et déjà pris des mesures de restriction d’eau !
Le dérèglement climatique n’est pas sans conséquence sur les animaux d’élevage mais aussi les animaux domestiques.
Être vigilant et miser sur la prévention
Au printemps, il faut redoubler de prudence et protéger son chien contre les puces, tiques, mais aussi les phlébotomes présents surtout dans le bassin méditerranéen… mais pas que désormais.
Ces derniers sont responsables de la leishmaniose, une maladie grave et sournoise contre laquelle il existe un vaccin recommandé pour les chiens vivant dans les régions concernées où s’y rendant avec leur maître.
Tous les renseignements concernant cette maladie et le protocole à mettre en place suffisamment tôt – tout comme la lutte à mener contre les parasites externes en général – peuvent être obtenus auprès du vétérinaire.
Plus de saison, plus de frontière pour les indésirables
En fait, il n’y a plus de saisonnalité pour les parasites externes. Auparavant, on constatait un pic surtout au printemps et à l’automne, une tendance qui tend à disparaître.
Vous pouvez vous fournir le numéro complet, soit en version téléchargeable (pdf) ou soit en version papier sur le site d’achat en ligne de l’éditeur.